jeudi 29 octobre 2015

1er job - 1er appart' - 1er raton laveur


    1er raton-laveur

Samedi 24 octobre, nous sommes allés nous balader au Stanley Park, au nord de la presqu’île du Downtown de Vancouver: un immense parc, composé de plages, de forêts humides et de lacs. Nous avons eu la chance d’y apercevoir nos 3 premiers raton-laveurs, des animaux qui ne vivent qu’en Amérique du Nord et qui sont connus pour vivre à proximité des villes et être de véritables petits voleurs. Un moment fort qui ne représente pourtant qu’une infime partie des bonnes choses qui nous sont arrivées ce jour-là.



1er appart'


Dès notre premier jour à Vancouver, nous avons commencé à chercher un appartement (il devenait pressant de changer de quartier, cfr notre premier article pour ceux qui ont suivi). Nos visites nous ont emmenés dans 6 studios et appartements différents et ont eu lieu du mercredi au samedi. Nous voulons habiter dans le centre et sommes donc prêt à mettre un peu plus cher pour se faire. On pourra ainsi aller travailler à pied, être prêt de tout et véritablement profiter de la magnifique Vancouver. 

Certains studios visités était super beaux, d’autres moins et certains étaient juste répugnants. Le dernier visité ce samedi matin a cependant répondu à toutes nos attentes: il s'agit d'un studio situé au coeur du downtown, dans le quartier de Yaletown. quartier bordé par l’océan, plus particulièrement par la False Creek et se composant de nombreux buildings vitrés à l’américaine. 

Tout d'abord, l'appartement offre une vue incroyable sur le stade es BC lions, équipes de football canadiens, et des Whitecaps, équipe de football soccer. Il est illuminé chaque soir. Il faut aussi savoir qu' Ivana voulait absolument un endroit lumineux où le mobilier ne serait pas vieillot. Bingo pour celui-ci: on se croirait dans un appartement IKEA, fully-furnished (super draps et essuies assortis, lave-vaisselle, lessive, micro-onde, four,  .... et même un cuiseur de riz).

Ivana devant le quartier de Yaletown où se situe l'appartement

Cet appartement est évidemment très prisé: lors de notre visite, un autre gars est présent. Il force les démarches auprès du propriétaire: "quand doit-on faire le paiement? de combien est la caution?quelle banque êtes vous?" Bref, Ivana refuse de se laisser impresionner et va trouver à plusieurs reprise la femme du propriétaire "We definitly take IT". 

Alors qu'on pense la visite terminée, le propriétaire nous emmène à un autre étage de l'immeuble et nous continuons la visite. Nous marchons le long d'un couloir et arrivons à la piscine privée de l'immeuble disposant également d'un hammam, sauna et salle de fitness. Le loyer inclue en effet un accès illimité à ces salles. On visite également la salle de projection (sorte de mini-cinéma) à réserver sur demande. Ivana a envie de pleurer en voyant que l'autre type force toujours sur les démarches. Le propriétaire nous annonce qu'il contactera tous les interessés le soir, après ses autres visites de l'après-midi et qu'il choisira à la fin. Le suspens est aussi insoutenable qu'une finale de Koh-Lanta. Ivana sort de l'appartement sur ces mots: "Si on l'a pas, je pleure". 

Quelques heures plus tard, alors que nous nous baladons dans le Stanley Park (quelques minutes avant d'apercevoir les ratons laveurs donc), Ivana reçoit un appel: "You've got the appartment". Danse et cris de joie (pas au telephone histoire de pas effrayer le proprio et qu'il change de décision).


Funny fact: L’appartement ne sera normalement disponible qu’à partir du 18 novembre. L’actuel locataire est Stephen Adekolu, le numéro 83 de l’équipe de football canadien des BC Lions. Nous pourrions cependant enménager le 8 novembre si son équipe ne se qualifie pas pour les playoffs, à savoir le tour final du championnat de football canadien. 

Les BC lions ont une rencontre le vendredi 30 octobre contre les Argonauts de Toronto. S’ils ne gagnent pas ce match, ils perdent toute chance d’aller plus loin dans la compétition et nous emménagerons le 8 du mois. S’ils gagnent, leur qualification et notre emménagement se joueront le samedi 7 novembre dans un duel sans merci contre les Calgary Stampeders. Nous sommes tiraillés entre l’envie d’avoir enfin notre appartement et le désir de voir gagner l’équipe de notre nouvelle ville -enfin c'est surtout Simon qui est tiraillé, Ivana veut juste aller le plus tôt possible dans la piscine, donc autant qu'ils perdent non?.

PS : Nous avons eu l'occasion de voir ce joueur lorsque nous sommes allés visiter l'appartement une seconde fois. Nous l'avons vu torse nu et on peut vous dire qu'il en faut pour pratiquer ce sport!

Nous habiterons dans les immeubles à gauche du stade.

1er job


Vendredi 23 octobre, nous avons commencé à chercher du travail. Nous avons véritablement postulé le matin pendant 2h et déposé chacun une quinzaine de CV. Le soir-même, nous avions déjà été recontactés par plusieurs employeurs et avions chacun 3-4 entretiens d’embauche.


Ivana, CV en main, postulant pour un job dans l'horeca.

Du coté d'Ivana

Ivana constitue la PREMIERE à avoir décroché un job, le premier travail officiel de sa vie. Cet évènement a eu lieu une fois de plus ce samedi. Ivana a donc eu son première entretien le samedi en question, le jour après avoir posté ses CV. Il a eu lieu dans le magasin UGG, dont elle affectionne tant les botes rembourées en mouto, au cœur de la Robson Street. 


Entretien à midi: la gérante du magasin est super occupée et doit faire patienter Ivana. Pour passer le temps, Ivana décide donc de conseiller les clients et entamme la discussion avec deux hommes venus du Kenya. Ils sont impressionnés par sa connaissance de la géographie (Kenya, in east of africa? - yeeeeeeeeeeeees, OMG you're so clever!). Heureusement qu'ils ne lui ont pas demandé de situer le pays sur une carte, ça aurait été moins sympa d'un coup. Elle leur parle un peu de sa situation et explique qu'elle a postulé pour ce magasin. Hassan (un des deux hommes) lui souhaite d'être engagée, elle conclue la conversation par un petit "Inch'allah". Les hommes n'en reviennent pas et, après avoir payé la modique somme de 1500$, vont trouver la manager:"Vous êtes une business woman non? vous DEVEZ l'engager, elle est AWESOME."

La patronne est ravie et dit qu'elle ne fera donc même pas passé d'entretien. Ivana est donc engagée pour un temps partiel (4 jours/ semaine) dans la boutique de ses rêves grâce à deux types qu'elle ne reverra plus jamais parce qu'elle leur a dit deux mots d'arabe.


Depuis, Ivana a eu un entretien ce mercredi 28 dans le magasin de vêtements Forever 21, situé dans la même rue que son autre job. La dame la voulait pour 40/h semaine mais cela ne suffisait pas pour pouvoir payer l'appartement et les voyages donc finalement Ivana y est engagée pour 3 jours/ semaine si tout va bien (oui oui, vos calculs sont justes, Ivana va donc travailler 7j/7).

Ivana a été appelée pour d'autres entretiens (Victoria Secret, Zara, magasin de cosmétiques...) mais maintenant que ses deux premiers contrats sont signés, elle décide de laisser de coté toutes les autres opportunités qui s'offrent à elle.




Du coté de Simon 


Quelques heures après avoir postulé, vendredi 23 en fin d’après-midi, il a eu un premier entretien téléphonique avec la société Urban Fare (une épicerie-supermarché qui importe des produits du monde entier) pour travailler dans le restaurant du magasin à Coal Harbour (un quartier maritime du Downtown de Vancouver), comme serveur et préparateur de boissons (café, du thé, des cocktails..) Son horaire changera mais il aura généralement, entre 25 et 40h semaine (un temps plein ici c’est 40h/s). Il combinera donc ce job avec un autre pour lequel il devrait normalement être engagé, à savoir magasinier dans le magasin de vêtement Old Navy, situé au croisement des deux rues les plus animés de la ville que sont Granville Street et Robson Street et où, selon les dires, on trouve les jeans à la mode les moins chers de la ville.



Ce mardi 27 octobre, Simon a en effet eu un entretien d'embauche groupé chez Old Navy (avec un Catalans qui parlait un peu trop de sa Catalogne, une Canadienne sympathique et un Corée super cool, chanteur amateur de pop-coréenne). L’animateur de la session, un jeune aspirant à percer dans l'industrie du cinéma, a organisé plusieurs activités. Dans la première ils devaient prendre un rouleau de papier toilette et détacher le nombre de feuille dont ils auraient besoin pour se moucher.Ensuite il leur a été demandé d’expliquer, par feuille de papier, quelque chose sur eux qu’ils n’avaient pas dit dans leur présentation. Une autre activité leur demandait d’aller dans le magasin, choisir un article et ensuite le présenter aux autres. Les autres étaient du même acabit. Dans les prochains jours, les candidats seront contactés pour un entretien final avec le gérant du magasin. Normalement, c'est dans la poche car ils recrutent une quinzaine de collaborateurs. Outre ces entretiens, Simon espère être repris pour travailler d’une quelconque façon durant les matchs de hockeys des Canucks de Vancouver (ex; vendeur de boissons).

Simon a également été repris pour un essai dans un coffee-shop pour y vendre des cookies, muffins et préparer des cafés de toutes sortes. Il a cependant annulé au vue des autres opportunités qui se sont présentées à lui et qui proposaient davantage d'heures de travail.


***

Pour fêter cette belle journée du samedi 24 octobre, remplie événements importants, nous avons décidé de délaisser les petits resto-fast-food du monde entier pour aller dans un véritable restaurant : Spaghetti factory dans le quartier historique de Gastown.

Bonne nuit à tous !

Simon & Ivana



mardi 27 octobre 2015

La nuit du grand frisson




Salut à tous! 

Vendredi 23, sur un coup de tête, nous avons décidé d’aller au parc d’attraction de Vancouver, situé à quelques minutes en bus de notre hôtel. En ce moment, le parc offre un horaire spécial pour la saison d’Halloween : il ouvre exclusivement le soir, est décoré en conséquence et propose des maisons hantées exclusives.


Une fois arrivés au parc, et après avoir affronté la file de chinois, nous nous dirigeons dans la première attraction : un chapiteau de cirque que l’on pense être train fantômes. Plus la file avance, plus Ivana se rend compte qu’il ne s’agit en réalité pas d’un train mais d’une attraction où l’on marche. Elle tente de faire demi-tour car elle n’est pas rassurée par tous les clowns gores (personnes déguisées) qui se promènent près de la file. Simon l’en empêche « Mais non, regarde, il donne des lunettes 3D, ça doit être un train ». Raté. On est réellement bien à pied à devoir se balader dans un cirque aux lumières fluo qui attaquent la pupille. 

Nous nous baladons de pièce en pièce, où les décors se font de plus en plus abominables : des clowns ensanglantés pendus que l’on doit retirer de son chemin pour passer, des rires machiavéliques en fond, du sang… Le pire, ce sont ces lunettes qui ne sont pas « 3D » mais qui donnent juste une impression de buée, ce qui fait qu’on ne sait pas bien voir ce qu’il y a droit devant nous. Arrivés à la 5ème pièce, des cages avec encore une fois des statues de clowns morts jaugent le sol. On se faufile entre quand soudain, un des clowns se lève et essaye d’attraper nos bras. C’est la panique, le truc de trop. Ivana accélère le pas en restant accrochée au bras de Simon et le tire tout le reste du chapiteau qui se fera quasiment en courant. Les clowns vivants nous surprennent de plus en plus, sortent même des murs, on manque de faire une attaque. On a l’impression que ça ne finira jamais quand, Dieu merci, on pousse enfin le dernier rideau nous donnant accès à la liberté.

Il est à noter que cette maison de l’horreur n’est que la première sur les 5 présentes dans le parc et est sans doute la moins pire. Les autres ont en effet des décors bien plus faramineux : une est un véritable château hanté orné d’une immense gargouille, une autre est une maison où des esprits frappeurs apparaissent aux fenêtres avec des effets de lumières, une autre encore ressemble à une cabane où un article de journal y est agrandi expliquant la terrible histoire qui s’y est déroulée quelques années plus tard (une histoire d’hommes masqués qui auraient découpé des corps en hommage à Satan). Bien évidemment, Ivana n’a pas envie de réitérer l’expérience et supplie Simon de ne pas en refaire. Il reste pourtant sur sa position « On a payé pour la soirée Halloween, ce serait jeter son argent de ne pas profiter des attractions exclusives- blablabla ». On se dirige donc dans l’attraction qu’Ivana estime la moins effrayante : la cabane.

En voyant la panique dans les yeux d’Ivana, Simon accepte finalement de faire l’attraction seul. Tel un preux chevalier, il se dirige dans la cabane hantée pendant qu’Ivana l’attend dehors, à côté d’un gosse de 8 ans... 

Le courageux Simon ressort quelques minutes plus tard, le visage blême « T’as bien fait de pas rentrer… ». 

L'attraction consistait en une visite de la cabane qui cachait bien plus que ce que son extérieur laissait penser. Simon a rejoint un groupe de jeunes Canadiens. Il vaut mieux être en groupe, on ne sait jamais ce qu'il peut arriver! L'attraction les emmène dans un ascenseur qui plonge malgré eux dans les abysses. Ils se retrouvent dans les souterrains où le mal a décidé de faire sa demeure. Pendant 10 mins, nous nous baladons de pièces en pièces, dans des décors halloweenesques fantastiques. Nous nous faufillons un passage en écartant des corps suspendus dans des sacs de morgue. Nous passons dans une salle de torture encore toute fraîche. Nous pressons le pas dans un laboratoire douteux. C'est beau et Simon sait qu'il s'agit d'une fiction, d'une attraction. Mais le coté effrayant des lieux ne réside pas dans sa forme, mais plutôt dans son fond. Tout au long du trajet, des acteurs, déguisés, sortent de nulle part (même d'un sac) pour nous faire peur. A chaque décor nous nous demandons quand, où et comment, ils vont nous surprendre. Dans certaines pièces, ils ne se manifestent pas. Une pièce en particulier est marquante: elle nous plonge au cœur d'une "messe" macabre d'une secte d'homme masqué. Une vingtaine d'automates autour de nous, sans savoir lequel est l'acteur qui mettra tout en oeuvre pour nous prendre par surprise.La véritable peur créé par cette attraction réside dans cette terrible attente de se faire surprendre. 10 minutes à traverser des pièces gores et exiguës, 10 minutes à être tendu et pressé. 


Simon a eu sa dose de frayeur pour la soirée et Ivana ne veut plus faire de telles attractions. Nous décidons donc d’arrêter les bêtises et de profiter des attractions fortes. Nous entamons donc la file, de plus d’1h, pour des chaises « volantes » qui nous emmènent à environ 70m de haut et nous offrent un panorama incroyable sur la ville, l'océan et les montagnes. Une vue à couper le souffle que nous savourons comme nous pouvons, crispés sur nos sièges suspendus par de minces chaines de métal plus ou moins bien entretenues. 

Pour finir la soirée, on goûte les plaisirs culinaires locaux : de bons donnuts et corn dogs (saucisse enrobée de pâte à beignet).

On a froid et on a plus envie de faire les files qui se font de plus en plus grosses pour les autres attractions. On décide de rentrer, plein de supers souvenirs en tête.



Ivana & Simon

Les donnuts et corndog- 30252 calories chacun

HAPPY HALLOWEEN ! 




lundi 26 octobre 2015

Un court aperçu de Vancouver


Salut tout le monde!


Après un premier aperçu nocturne de la métropole, nous nous sommes endormis rapidement, paupières fermées, les lumières de la ville gravées sur la rétine.

Nous avons ensuite mieux découvert Vancouver au fil des 4 jours qui ont suivi : nous l’avons parcourue de long en large, du nord au sud, d’est en ouest. Pour le plaisir de la découverte, mais aussi pour s’installer en réalisant les premières tâches obligatoires pour entamer notre vie canadienne.

C’est ainsi que, tout en baladant nos yeux (et nos pieds) partout dans la ville, nous avons ouvert un compte en banque, créé un numéro de téléphone, obtenu un numéro de travailleur et fait les premières démarches pour obtenir un logement fixe et un travail (nous en reparlerons ultérieurement dans un autre article).

Pendant des mois, nous avons passé nos soirées à regarder des photos de la ville, à s’imaginer marcher dans les grandes avenues, un café en main. En parcourant maintenant plus de 10 km par jour -on marche beaucoup ici de manière générale-  nous nous sommes enfin faits un première véritable aperçu et nous pouvons vous annoncer que : VANCOUVER EST FORMIDABLE !

Nous la décrivons d’abord en hauteur: les immenses buildings parsèment presque l’entièreté du downtown (centre-ville) qui se situe sur une sorte de presqu'île, entourée par l’océan. Il est omniprésent, repose la vue et apaise l’esprit. Les rues sont animées en restant agréables et aérées. Nous découvrons beaucoup de voitures de marques inconnues en Europe.

Ici, à ce qu’il nous semble, on vit beaucoup plus dehors qu’en Belgique. Il suffit cependant de quelques minutes, peu importe l‘endroit où nous nous trouvons, pour trouver le calme d’un quartier plus résidentiel rempli d’arbre (et d’écureuils). Si l’on pousse un peu la marche, au nord du downtomwn se trouve le Stanley Park, rempli d’animaux, de sentiers de promenade et  de forêts. 

Il y a aussi des plages et des petits ports de plaisance partout. En levant les yeux, on aperçoit les montagnes et le début des Coast Mountains qui protègent la côte pacifique des vagues de l’océan jusqu’au milieu de l’Alaska.

Vancouver est une ville cosmopolite, même s'il y a surtout des canadiens et des chinois (on en a jamais vu autant sur notre vie entière, par moment, on se retourne dans une file d’attente, et on se rend compte qu’on est les seuls blancs du supermarché). Il y a aussi de véritables canadiens : les amérindiens.
 
Les restos nous offrent à eux-seuls un tour du monde entier: mongole, italien, mexicain, indonésien, indien, sri-lankais, vietnamien, japonais, thailandais, libanais, grec, turc, colombien,  etc.  Pour le moment, étant donné que nous n'avons toujours pas de cuisine, on mange exclusivement des petits plats pour pas cher. Les sushi  notamment -que nous adorons- sont 2 à 3 fois moins cher qu’en Belgique (environ 2.50€ pour 8).  

Depuis que nous sommes arrivés, pas un matin ne passe sans que l’on s'arrête à un « coffee time » (genre starbucks)  pour y déguster cookies ou muffins et y boire un café, que l’on peut également prendre « to go ».  Simon, qui adore le café italien et le café à la turque -bref qui est un grand fan de café- ne s’attendait pas à apprécier le café à l’américaine, agrémenté de plein de petits ingrédients (sirop d’érable, caramel, cannelle, crème, vanille, chocolat… ) qui lui donne un gout savoureux. Cela lui a même donné envie de travailler dans un établissement où il pourrait prendre soin de sa machine à café. 

Ivana quant à elle a été marquée par le nombre de boutiques qu'il n’y a pas à Liège et qui co-existent au sein d’une même rue: UGG, Victoria Secret, Sephora (elle en a déjà compté 3), Disney Store, Michael Kors... 

Sur ce, voici un long apperçu de la ville en photo, l’image parle plus que les mots.

Simon & Ivana











À Vancouver on se déplace à pied, en voiture, en bus, en monorail et... en aquabus!








Second beach, entre le Stanley Parc et le coeur du downtown.


Stanley park, aux allures de forêt humide, en plein dans le downtown!

Stanley Park

L'automne est là !









Beaver Lake, au coeur du Stanley Park. Pas de castors mais beaucoup de petits oiseaux amicaux...



Après les Chinois, la deuxième communauté la plus représentée à Vancouver.


Le fondateur historique de Vancouver (le gars à gauche).



Les voitures de police, ici, c'est autre chose!



On est toujours au coeur du centre-ville, qu'on se le dise.

Ivana, en bas, au milieu.





Sunset Beach dans English Bay, toujours en plein coeur du downtown.

Totem innuit.

De ce côté-ci la mer, le sable, les sapins, les montagnes; de l'autre une rangée impressionnante de building. 



Au loin, dans la brume, l'île de Vancouver, dont nous partirons à la découverte plus tard.